Joyeux anniversaire : projet 365 # 109

Bille Jaune et Bille bleue : projet 365 # 108

La suite des aventures des petites billes. 

Je les ai confisquées !!!!! Elles se retrouvent dans mon tiroir à objets confisqués avec des cartes pokémon, d'autres billes, une balle en mousse, des calculatrices (mes élèves sont des paresseux), un oeuf de Pâques (pas en chocolat sinon, il aurait déjà été mangé) et une pierre (et ouais, on est en Seine-Saint-Denis).

De la réelle utilité des plaques d'égout : projet 365 # 107

J'ai un peu laissé tombé le projet 365. Je fais toujours pas mal de photos mais je n'ai pas le temps de les charger et de les retoucher par la suite. Satané beau temps !!! Vivement qu'il pleuve.
Voici ce que j'ai photographié de ma classe cet après-midi.

Bar/poste, même combat, projet 365 # 106

Croisé au cours d'une ballade aujourd'hui.

Le Bill du mardi # 18

Lorsque Pâques est passé, Bill devient un chasseur. Il chasse les lapins invendus dans les rayons des supermarchés, les découpe et les transforme en tablettes de chocolat.

Le voici en direct de sa cuisine avec sa dernière proie.

Krum l'ectoplasme : projet 365 # 105

"De retour dans son quartier, Kroum, l’anti-héros absolu, retrouve sa mère, trop possessive, ses amis et voisins, qui stagnent dans leur médiocrité, ses amours, qui s’enlisent, ses désillusions... rien n’a changé...

et pourtant Kroum veut croire que le monde n’est pas si désespéré... Par l’humour, par une grande tendresse pour ses créatures, hanokh Lévin, nous entraîne dans une valse effrénée, reflet d’une grande rage de vivre. Derrière les souffrances, il y a la force de la vie, et une belle qualité de rire." (copié sur la plaquette du théâtre)

Bravo les artistes pour cet agréable moment.
Une petite pointe de regret de ne pas avoir été au milieu de vous mais quel plaisir de vous regarder.
Superbe prestation.

Le Connemara en vrac : projet 365 # 99 à 104

J'aurai encore un article sur l'abbaye de Kylemore à rédiger et puis j'en aurai fini avec le récit de mon séjour en Irlande. Rassurez-vous, je repars bientôt en vacances (un des rares avantages de l'enseignement; l'autre étant bien évidemment d'avoir les bics gratuits). En attendant, je vous poste en vrac quelques photos irlandaises. 

La première photo c'est pour vous montrer qu'au Connemara, y'a aussi des plages. Voici celle de Gurteen Bay (près de Roundstone). Une fort jolie plage mais, à Pâques, on n'a trempé que les pieds dans l'eau. Bah ouais, c'est l'Atlantique bordel !!!

Une jolie petite île au milieu d'un lac. So typical.

Certes, nous ne nous sommes pas retrouvés coincés au milieu d'un troupeau de moutons mais dans le Connemara, il faut quand même être vigilants car on croise beaucoup d'animaux sur la route :

Comme de coutume dans cette famille, à Pâques, on organise une chasse à l'oeuf. Ce n'est pas parce qu'on était en Irlande qu'elle n'a pas eu lieu. De plus le jardin étant immense, c'était encore plus marrant. Au programme 24 oeufs à retrouver. Seuls 23 ont été dénichés. Le 24e restera pour toujours caché dans un jardin irlandais. 

Quelques moutons qui sont à la base du plat national irlandais l'irish stew (ragoût de mouton). 

Et puis, pour finir une barque sur un lac.

le bill du mardi # 17 : Bill et la Chantilly

D'après une idée originale de Chrystel.

Petit à petit, je réalise les idées que vous m'avez donné. Si vous en avez d'autres, n'hésitez pas.

Alors dans mon frigo, la bombe de Chantilly a une sale réputation. On l'accuse de bien des maux. En effet, il paraîtrait qu'en plus de contribuer à la bonne forme de ma culotte de cheval, qu'elle attaquerait tout ceux qui s'en approchent d'elle. 

Il y a quelques mois, j'avais déjà réussi à photographier une attaque de la Chantilly sur deux pauvres petites cerises (voir ici). Et voilà que la méchante récidive avec Bill qui s'en est approché de trop près. Dommage !!!

Une petite virée sur les Îles d'Aran

Ce que j'ai préféré en Irlande, c'est la visite des Îles d'Aran. Ce sont trois petites îles situées à l'entrée de la baie de Galway. 

Alors, en gaëlique dans le texte il y a Inis Mór (grande île), Inis Meáin (île du milieu), et Inis Oírr (île de l'est). Vous constaterez donc deux choses. Premièrement, "inis" veut, en toute logique, dire île et deuxièmement, les Irlandais sont plus pragmatiques que poétiques lorsqu'il s'agit de nommer leurs îles.  

Nous n'avons visité que la grande île. Pour y aller, plusieurs solutions s'offrent à vous :

• L'avion : C'est la solution la plus chère. 45 euros l'aller-retour selon le routard pour 2 fois 6 minutes de vol. Comme nous étions 10, nous avons préféré prendre le bateau. Néanmoins, ça doit être magnifique de voir ces îles du ciel car, lorsqu'on est dessus, on est souvent déçu de ne pas avoir assez de hauteur pour admirer la magnifique succession des murs de pierre. 
• Le bateau : Ce n'est pas donné non plus : 25 euros l'aller-retour au départ de Rossaveal (à environ 40 KM de Galway). 45 minutes de traversée mais le plaisir immense de voir les visages de vos proches osciller entre le blanchâtre et le verdâtre. Et ouais, n'a pas le pied marin qui veut, c'est l'Atlantique bordel !!!! 

L'arrivée sur les îles se fait au niveau du village de Kilronan. Qu'en dire ? Pas grand chose car je ne l'ai pas visité. Nous y avons juste loué des vélos avant de partir, cheveux au vent (enfin, pour ceux qui en ont encore) admirer les superbes paysages de cette île. Car s'il y a bien un endroit en Irlande où les images d'Epinal qu'on a dans la tête sont la réalité c'est bien ici. Murets, petites maisons, boreens (petits chemins de terre), moutons, carrioles tirées par des chevaux, pulls à motifs ... tout y est. Il parait même que les gens de ces îles parlent encore le gaélique. Ça, je n'ai pas pu vérifier étant donné que je ne parle pas cette langue mais, une chose est sûre c'est qu'ils ont eu du mal à comprendre my perfect english. 

Faut savoir que, géologiquement parlant, ces îles sont de gros cailloux (pour faire vraiment scientifique, je devrais dire qu'elles sont le prolongement de l'ensemble karstique des Burren mais à quoi bon, je sais que vous ne comprendrez pas la moitié des mots). Néanmoins,  les irlandais étant des gens tenaces, ils ont décidé, il y a plusieurs siècles de cela de rendre ces 3 gros cailloux cultivables. Ils ont donc eu la brillante idée de creuser des sillons dans la roche, en y mêlant des algues et du sable qui, en pourrissant forment un humus propice à la culture de la pomme de terre et au développement d’herbe grasse.  

Je vous entends déjà me poser la question mais pourquoi y a-t-il autant de murets sur cette île ? La première raison est pour protéger les cultures des vents violents de l'océan (en effet, il n'y a ni arbres ni buissons pour remplir ce rôle). La deuxième est qu'il fallait bien faire quelque chose des pierres extraites du sol (n'oubliez pas les Irlandais sont pragmatiques). Le seul truc pénible c'est que si l'on veut faire un pique-nique au milieu d'un pré, on est obligé de démonter un mur.  
Par ailleurs, d'éminents spécialistes ont estimé que la longueur totale des murets sur les 3 îles serait de 1 600 km (soit un Paris-Suchodoly)

Sinon, pour vous déplacer sur l'île voici les quelques moyens de transport qui s'offrent à vous :

• Le vélo (10 euros la journée). Il existe aussi des tandems pour adulte et enfant et des vélos avec porte enfant.
• La petite calèche tirée par un beau cheval. 
• Le mini-bus qui propose la visite des principaux points d'intérêt de l'île. À utiliser éventuellement si on vient juste de vous poser une prothèse de hanche car franchement les plus sympas sont les 2 précédents. Surtout que les chauffeurs de bus n'ont rien à envier aux vendeurs de tours Eiffel du Trocadéro lorsqu'il s'agit d'essayer de vous convaincre de grimper dans leur tacot.

Qu'y-a-t-il à voir sur cette île ?

Plein de petites ruines (églises, forts, vieilles maisons...) agrémentent le parcours à vélo.  Mais le truc mais le plus impressionnant est sans conteste Dun Aengus (photo du dessus). C'est un fort préhistorique formé de 3 enceintes. Il est de forme semi circulaire. Les archéologues pensent que l'autre partie a dû s'effondrer avec la falaise. Mais hormis l'intérêt historique, c'est à cet endroit qu'on peut (pour les plus courageux dont je ne fais pas partie) admirer la falaise en s'allongeant sur la roche. 80 mètres de hauteur, gloups !)

Je vous présente donc une partie de ma belle famille :

Alors, dans l'ordre, on a mon beau-père, ma belle-soeur et son fils, Le Chéri et mon beau-frère. (Ce n'est pas moi qui ai pris cette photo)

 Je n'ai pas pris les 3 du dessus non plus car cela impliquait s'approcher du bord. 

Sachant qu'en une journée on n'a fait que le quart de la moitié de ce qu'il y a voir, j'y retournerai. Si je n'ai pas réussi à vous convaincre, sachez que sur Inishmore, on peut aussi admirer les phoques, aller à la plage et passer sa journée, si on est passionné,  à observer la faune et la flore.

On les voit mieux que dans la baie de Somme non ?

Derniers petits conseils : Allez-y de préférence en début ou en fin de saison. En avril, il y avait déjà pas mal de touristes alors, imaginez les 2 mois d'été. En effet, pour avoir l'impression d'être seul au monde, il vaut mieux éviter le groupe de touristes texans ou la colo de jeunes ados français.
Consacrez plusieurs jours à ces îles afin de pouvoir vous écarter des chemins balisés. Y passer quelques nuits permettra aussi de se débarrasser des touristes qui arrivent à 10H mais repartent par le bateau de 19 heures. C'est un endroit qui se vit et pas un endroit qui se visite. 


J'ai adoré cet endroit mais sachez que mes quelques photos ne rendent pas grâce à la beauté de cet endroit et ne retranscrivent pas l'atmosphère qu'il en émane. 
ALLEZ-Y

C'est la rentrée : projet 365 # 98

Illustration de la poésie de Christian Merveille. Une des poésies les plus apprises en septembre au CP et au CE1. L'illustration est une partie de la couverture de l'album On ne jette pas les bisous à la poubelle !, de Cathy Dutruch et Amandine Grandcolas.

No verge : projet 365 # 97

Petit panneau croisé sur une route irlandaise. Pour info, verge veut dire "bord"