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Les panneaux polonais

Zone où le port de la sucette est obligatoire.

Danger chute de neige radioactive



Zone d'envol


Zone où la chasse-poursuite de l'humain est autorisée

mardi 7 septembre 2010

Détails d'Auchwitz


Lors de notre voyage en Pologne, nous avons fait une halte de trois jours à Cracovie. Nous en avons profité pour visiter deux lieux incontournables à proximité : les mines de sel et Auchwitz. 
Visiter Auchwitz est éprouvant. Durant trois heures, avec le guide, on se retrouve plongés dans le quotidien de ces personnes qui ont connu l'horreur de ce camp. On sort de cette visite avec d'innombrables questions qui commencent pour la plupart par "pourquoi ?". Pourquoi ? Malheureusement, aucune réponse ne se trouve à Auchwitz. Il est impossible de comprendre pourquoi des hommes, des êtres humains ont pu assassiner autant de leurs semblables.

    Le mur d'entrée d'Auchwitz I


Auschwitz fut le plus grand camp de concentration et d'extermination de l'Allemagne nazie. Il se situe à une soixantaine de kilomètres de Cracovie.
Ce camp de concentration, dirigé par les SS, fut créé en mai 1940 et libéré par l'Armée Rouge en janvier 1945. En cinq années, plus de 1,1 million d'hommes, de femmes et d'enfants, moururent à Auschwitz, dont 900 000 immédiatement à leur sortie des trains qui les y amenaient. 90 % de ces personnes étaient juives. Ces victimes de la solution furent tuées dans les chambres à gaz, mais moururent aussi de maladies, de malnutrition, de mauvais traitements ou d'expériences médicales. En effet, le "célèbre" docteur Mengele s'y est livré  à de nombreuses expériences à prétention scientifique en particulier au sujet des jumeaux.






    Carte des convois à destination d'Auchwitz

Chaque jours de nombreux convois arrivent des 4 coins de l'Europe à Auchwitz. Dans ces wagons, des familles entières de juifs, des communistes, des opposants, des tziganes y sont entassés depuis des jours. En effet, les convois de prisonniers n'étant pas prioritaires, ces trains attendent parfois pendant plusieurs heures que d'autres trains militaires ou commerciaux passent. 
A leur arrivée, les juifs sont immédiatement triés par des médecins. Entre 80 et 100 % des juifs sont emmenés directement dans les chambres à gaz sans passer par le camp. Quelques uns d'entre eux sont dirigés vers le camp ou ils survivront dans des conditions effroyables.


     Boîtes de Zyklon B




                       Canada

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   Le mur du bloc 11

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L'entrée du Bloc 11

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   Halt

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dimanche 5 septembre 2010

Pour en finir avec Berlin





Je suis à la bourre, j'ai fait plein de photos durant ce voyage mais je n'ai pas eu le temps de les trier. Je vous livre donc en vrac les plus intéressantes de Berlin (à mon avis).


Voici une vue de la fameuse Fernsehturm et du Berliner Dom qui est la cathédrale historique de Berlin. Elle est de style de la Haute Renaissance italienne.








La porte de Brandebourg vue du côté "Est".


Le Reichtag



 
Plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Plusieurs centaines de ressortissants de la RDA perdent la vie en essayant de le franchir, les gardes-frontière est-allemands et soldats soviétiques n'hésitant pas à tirer sur les fugitifs.






A 13h25 sur "Unter den Linden".
C'est le nom ce cette grande artère Berlinoise. Littéralement "sous les tilleuls".
Au XVi, cet axe n'était encore qu'un simple chemin de terre battue qui fut tracé en 1573 sur ordre du prince-électeur Johann Georg. Il reliait alors le Berliner Stadtschloss (le château de Berlin) au Tiergarten (un des plus grand parc de Berlin à l'heure actuelle), alors réserve de chasse royale.



Le quartier français






Voici pour finir deux curiosités berlinoises :

L'ours est l'emblème de Berlin. On en trouve à tout les coins de rues, décorés de diverses façons (un peu comme la vache à Paris il y a quelques temps)

Les feux Berlinois. C'est une véritable institution à Berlin. A Paris, on vend aux touristes des tasses et des porte-clés de la tour Eiffel, à Berlin, tout est à l'effigie de ces petits personnages.